APOLLINAIRE, UN POÈTE DANS LA GRANDE GUERRE

Paris, 9 Novembre 1918.
Guillaume Apollinaire, mal remis de ses blessures, se meurt. La fièvre espagnole emporte le poète officier de la « grande guerre ».
Sous une pluie de fer et d’acier, nous accompagnons « le voyageur solitaire » des rives vertes du Rhin aux quais de Seine près du pont Mirabeau, du château de Krayer Hof de la vicomtesse de Milhau aux tranchées du Bois des Buttes en Champagne où il fût trépané.
Dans les méandres d’un dernier songe, passent les femmes que le poète a aimées : Annie, Lou, Marie, Madeleine et Ruby.
Mais aussi les amis de toujours : Picasso, Cendrars, Cocteau …

dimanche 11 novembre

21:00

(1h 15′)

Théâtrales de Castries

Le Fabuleux Midoc Pyrouillon

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